Joël Bloch – à la découverte de mondes inconnus avec un microscope
Prix Schläfli 2023: La biologie structurale est pour lui «la plus belle» des sciences. Joël Bloch se voit décerner le Prix Schläfli en biologie pour sa thèse de doctorat à l’EPF de Zurich sur les molécules de glucose particulières dans les membranes cellulaires.
Anna-Katharina Pfitzner – à la recherche de réponses fondamentales
Prix Schläfli 2022: Les éléments biologiques microscopiques, c’est son truc : la biologiste Anna-Katharina Pfitzner a étudié un mécanisme important qui intervient dans de nombreux processus de la biologie cellulaire.
Image : Anna-Katharina PfitznerGregor Weiss – à la conquête des montagnes et des bactéries
Prix Schläfli 2021: Gregor Weiss a deux passions: les sports de montagne et la biologie. Qu’est-ce que les deux ont en commun? Vous ne pouvez atteindre votre objectif qu’avec persévérance et esprit d’équipe. Cela vaut également pour son travail sur la défense du corps humain contre la cystite, qui lui a valu le Prix Schläfli de biologie.
Image : Miki FeldmüllerAlice Berhin – Un nouveau chapitre de l’anatomie végétale
Prix Schläfli 2020: On pensait déjà connaître l’anatomie des plantes. Et puis Alice Berhin découvre une sorte de couche protectrice sur la racine des semis. Pour cela, elle reçoit le Prix Schläfli en biologie.
Image : Alice BerhinRebekka Wild – Protéines et autres structures
Prix Schläfli 2019: C’est une belle journée de printemps à l’EPF Hönggerberg. L’on s’assoit à la terrasse du café pour discuter. Rebekka Wild semble très détendue, comme si elle n’avait rien de plus important à faire que de profiter du soleil. Pourtant, elle travaille plutôt à 150%, lit même la littérature scientifique le soir et, de temps à autre, également un livre.
Image : Rossitza IrobalievaPrix Schläfli 2018 de biologie : Hester Sheehan
Les noctambules aiment bien porter du blanc dans certaines boîtes de nuit, car la lumière UV embellit. Les chercheurs ont mis longtemps à remarquer que les plantes avaient aussi une vie nocturne similaire : la couleur des fleurs et l’attrait qu’exercent certains insectes pollinisateurs ou oiseaux s’influencent mutuellement, ce qui est depuis longtemps un champ de recherche important. Or, les chercheurs – en raison des horaires de travail habituels – ne se référaient qu’à la situation en plein jour, qu’aux fleurs multicolores et aux yeux spécialisés dans les couleurs. Dans ses travaux de recherche, Hester Sheehan s’est intéressée en revanche à la face sombre du phénomène : des pétunias d’un blanc insipide, mais qui paraissent visiblement noirs dans le spectre UV. Un accroche-regards pour les papillons de nuit nocturnes en quête de nectar.